Le premier tome d’Assassin’s Creed dévoile quelques informations supplémentaires sur l’univers du jeu en présentant un tout nouveau personnage : Le patient 16 ( ainsi que son aieul romain, l’assassin Aquilus ).
Lui aussi fût capturé avant Desmond Miles par les hommes d’Abstergo pour subir toutes sortes d’examens afin de retrouver l’Orbe d’Eden. Mais tout ne se passe pas comme prévu…
Ce Tome 1 d’Assassin’s Creed offre également un bref rappel des faits sur les évènements liés à la toute fin du jeu. On retrouve par exemple le combat entre Altair et Al Mualim, ainsi que l’instant décisif où Desmond perçoit les symboles énigmatiques au-dessus de son lit. Et contrairement au jeu qui se terminait sur ce terrible cliffhanger, la BD nous laisse découvrir sur ses dernières pages, les agissements de Lucy, la scientifique d’Abstergo, avant d’établir une rapide liaison avec le futur Assassin’s Creed 2.
Pour cette série, Ubisoft a fait appel au dessinateur Djillali Defali, principalement connu pour Asphodèle, ainsi qu’au prolifique scénariste Corbeyran. Au niveau des planches, rien à dire. L’ensemble est plus que correct avec l’utilisation de teintes chaudes pour les passages se déroulant au temps des croisades, et froides pour la période contemporaine. Le graphisme est soigné, suffisamment riche en détails pour coller à l’ambiance du jeu.
On pourra finalement juste reprocher à ce premier tome de ne livrer que quelques informations inédites au joueur.
A réserver avant tout aux fans donc.